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Olivier Cauro, le cerveau des déboires du Groupe Pefaco

 

Le Groupe Pefaco aurait pu mieux se porter si une personnage nommé Olivier Cauro accordait plus d’attention et de sérieux aux activités du groupe.

Olivier Cauro, c’est le numéro 2 du Groupe après Francis Perez le Président. Le vice-président du Grupo Pefaco

Dans les activités de Casinos, de l’hôtellerie et d’autres structures, M. Cauro qui devrait être l’homme de terrain aurait pu éviter au groupe plusieurs scandales à son actif aujourd’hui.

Mais Cauro est loin d’être un manager compétent. Éternels conflits avec le personnel, notamment des comptables, directeurs et autres associés, faux rapports sur l’évolution des travaux d’hôtellerie, cas du Togo, sabotage à la limite des activités du Groupe.

D’après nos investigations, la négligence du chantier de Lomé, complexe hôtelier laissé à l’abandon depuis une décennie incombe à Olivier Cauro.

Il met constamment en cause l’expertise des Directeurs sur place en bloquant l’évolution des travaux.

C’est également lui, d’après nos informations qui avait fait échouer  la convention de rachat de la banque populaire au Togo par le Groupe Pefaco.

Aujourd’hui, par ailleurs, ils doivent selon nos sources près de 450.000.000 de Francs CFA dans les opérations d’engrais. Affaire sur laquelle nous allons revenir.

Le Groupe Pefaco constitue pour le Togo à ce jour un miroir aux alouettes.

Le Grand complexe hôtelier pour lequel Francis Perez a fait déplacer le Chef de l’Etat Togolais Faure Gnassingbe reste dans les décombres et suscite des critiques.

Les casinos et machines à sous dénommés Lydia Ludic ne prospèrent plus au Togo à cause du Coronavirus.

Les banques sur place sont aux trousses de Pefaco pour des crédits non remboursés.

À cette allure de déchéance au Togo, l’avenir du groupe espagnol est sérieusement menacé par la volonté des responsables du Groupe avec en tête Olivier Cauro le Vice-Président.

Malheureusement cette pagaille s’orchestre au nez et à la barbe du Président du groupe qui préfère se faufiler dans la confusion qui mine le groupe. Aveugle devant cette gestion approximative. Un opérateur économique averti analyse la situation de Péfaco: « Ils n’ont plus d’avenir au Togo. Ils  ont échoué en engrais, en hostellerie et en banque, reste à leur retirer le contrat de casino à remettre à des opérateurs plus sérieux… » nous a t il confié.

Pour d’autres acteurs Francis Pérez s’est bien moqué du Chef de l’État togolais et ne mérite plus la confiance du Togo.

« Il faut donner l’agrément des structures d’échec de Péfaco à d’autres pour développer le Togo », susurre-t- on dans les milieux de casinos et de machines à sous. Plusieurs investisseurs expriment la volonté d’investir dans le domaine au Togo.

Rappelons que le groupe espagnol est présent dans plusieurs activités : hôtellerie, casinos, sports, banques etc. Des activités qui ont accumulé plusieurs scandales sur lesquels nous allons revenir alors que nos investigations se poursuivent.

Alfredo Philomena.

 

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